Avec des algorithmes et des formules numériques complexes, il est facile d’utiliser nos données et nos likes sur Facebook pour analyser nos comportements, nos habitudes, nos centres d’intérêts ou notre personnalité. Le problème, c’est qu’un ordinateur peut prétendre mieux nous connaître que notre propre famille. Et surtout, ces données, pas si personnelles, peuvent servir d'outil politique très précieux. Mais également très dangereux.